23 mai 2009
Moi, j'abdique et j'te laisse ma place.
Ma douce euphorie s'éteint; seul le sentiment d'une tempête enfin calmée persiste, si ce n'est un néan dans lequel je me perds un peu plus chaque jour.. J'entends sa fin comme celle d'un doux decrescendo, même que ça me gratte le coeur à coup de notes...